Les meetings sont pleins
Les feux sont aux verts
Trois semaines nous sépare du premier tour. Le combat final sera rude. Très rude. Nos adversaires ne reculent devant rien.
Quant à nous, il ne nous faut pas nous griser. Rien n’est jamais acquis tant que le vote n’a pas lieu.
La surprise peut être bonne comme mauvaise.
La lucidité et la modestie doivent toujours nous guider tout au long des derniers jours de la bataille.
Je ne peux que me souvenir de 2012, où chacun d’entre nous s’y voyez déjà.
Puis la grande désillusion. C’est donc pour cela que je ne suis pas de ceux qui répètent en chœur que nous serons au second tour.
Il reste trois semaine pour que je me trompe
Trois semaines où tout va se jouer.
Tout ou rien.
C.G
2 Avril 2017