Ce que j’ai vu à Marseille.
Dimanche 9 avril 2017. Il restera, ce jour, dans l’histoire de notre pays. Oui, il restera comme un grand jour pour le peuple. Un jour parmi les autres ou un homme à Marseille a prouvé, s’il y avait encore besoin, qu’il a la stature d’un chef d’Etat. Une stature, que moi l’ancien libertaire devenu républicain je n’aurai jamais imaginé défendre. Une posture loin du bruit et de la fureur, que personne ne renie mais le contexte était totalement différent, mais appaisée, pacifique et selon les mots de Jean-Luc Mélenchon lui-même (voilà qui va encore donner des armes à l’extrême-gauche, mais après tout…) : « Mitterrando-Gaulliste ». Le candidat de la République Sociale, humaniste, pragmatique et pacifique. A l’heure où la guerre menace le monde, la France doit retrouvé son indépendance et son rôle de Nation qui concourt à la paix.
C’est ce qu’a dit Jean-Luc Mélenchon à Marseille, ce qu’il ne cesse de répeter depuis des mois face à la folie gueriere de Trump sans mandat de l’ONU. La France, elle court derière sans réflechir. La guerre généralisée s’annonce. Notre pays doit se tenir à l’écart des expéiditions aventureuse et illégales. Et discuter. C’est ce que propose Jean-Luc Mélenchon, non par fascination pour je ne sais qui mais bien parceque le seule moyen d’arriver à la paix n’est surement pas cette guerre là.
C’est bien un peuple pacifique, conscient de sa force et de son histoire que j’ai vu Marseille. Un peuple qui ne se laisse pas dicter ses choix par ces messieurs de la caste, Figaro-ci Figaro là… Un peuple qui sait bien que l’Avenir en Commun permet une sortie par le haut de la crise que traverse notre pays. Tant que l’oligarchie panique, le peuple sait de quel côté sont ses intérêts…
Ce que j’ai vu à Marseille c’est une force neuve, éclairée, bouillante et décidée.
La force du Peuple.